‘A General History of one of the most notorious Pyrate'
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cpt. Charles Johnson
captain. your worst nightmare
INSCRIT LE : 18/09/2009 REAL AGE : 32 MESSAGES : 86 WHERE ARE YOU : j'attend la chute de l'objet qui eu raison de Newton, allongé sous un arbre. AMBITION : aucune si ce n'est celle de faire obstacle le plus longtemps à l'EITC. RPG AGE : 39 ans. MOOD : cynical with subtlety.
ONE-WAY TO KNOWN~ METIER & PARTI ACTUEL: Captain of the Shipwreck • Most wanted in mediterranean and asian seas. BLOC-NOTE: RELATIONNEL:
Sujet: ‘A General History of one of the most notorious Pyrate' Dim 20 Sep - 13:31
chapter one; the identity wich prove that you are an adventurer.
● nom, prénom(s) : Johnson, Charles ● sexe : masculin ● âge et date de naissance : 39 ans, né le 16 avril 1676 ● orientation sexuelle : hétérosexuel ● état civil : célibataire ● richesse : aisé ● appartenance à une cause : piraterie
● métier aux yeux du monde : ex lieutenant commandant, capitaine pirate ● comment voyez-vous l'avenir? : mystère, il faut en être conscient sans pour autant être obnubilé par ce qui va se passer le lendemain. Il faut penser à l’instant présent où il appartient.
● historique familial : mon père adoptif est décédé il y a cinq ans. Une seconde famille adoptive dont un ‘frère’ avec qui j’ai vécu lors de mon enfance, lui aussi fut adopté, ses deux parents sont décédés il y a une dizaine d’années à présent.
Dernière édition par cpt. Charles Johnson le Ven 25 Sep - 8:24, édité 11 fois
cpt. Charles Johnson
captain. your worst nightmare
INSCRIT LE : 18/09/2009 REAL AGE : 32 MESSAGES : 86 WHERE ARE YOU : j'attend la chute de l'objet qui eu raison de Newton, allongé sous un arbre. AMBITION : aucune si ce n'est celle de faire obstacle le plus longtemps à l'EITC. RPG AGE : 39 ans. MOOD : cynical with subtlety.
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Sujet: Re: ‘A General History of one of the most notorious Pyrate' Dim 20 Sep - 13:32
chapter two it is in history that we find the truth.
'welcome to the Caribbean
'To the mast nail our flag it is dark as the grave, Or the death which it bears while it sweeps o'er the wave; Let our deck clear for action, our guns be prepared; Be the boarding-axe sharpened, the scimetar bared: Set the canisters ready, and then bring to me, For the last of my duties, the powder-room key.
It shall never be lowered, the black flag we bear; If the sea be denied us, we sweep through the air. Unshared have we left our last victory's prey; It is mine to divide it, and yours to obey: There are shawls that might suit a sultana's white neck, And pearls that are fair as the arms they will deck.
There are flasks which, unseal them, the air will disclose Diametta's fair summers, the home of the rose. I claim not a portion: I ask but as mine 'Tis to drink to our victory - one cup of red wine. Some fight, 'tis for riches - some fight, 'tis for fame: The first I despise, and the last is a name.
I fight, 'tis for vengeance! I love to see flow, At the stroke of my sabre, the life of my foe. I strike for the memory of long-vanished years; I only shed blood where another shed tears, I come, as the lightning comes red from above, O'er the race that I loathe, to the battle I love.'
Le bateau fendait doucement les vagues qui venait doucement lécher la proue de ce dernier. Les bois laissait paraitre l'usure, manifestant le nombre incalculable de fois il a rencontrer l'eau et le sel de la mer. Le trois mats voguait rapide et léger sur les eaux turquoises des Caraïbes. La mer avait accueillit ce nouveau vaisseau récemment, ce n'était pas la première fois que le Shipwreck s'aventurait sur les eaux des Caraïbes, mais cela faisait bel et bien deux ans qu'on avait pas revu les voiles grises du navire. L'Epave, tel était le nom de ce bateau qui ne ressemblait en rien à une épave. C'était en réalité une petite merveille pour les armateurs aguerris. Trois mats, des voiles grises de tempêtes, 28 kilomètres de cordes, 12 canons à bâbords et tribord. Avec une poupe imposante et une proue représentant une sirène qui tend dans ses mains une miniature du bateau. Le pavillon en toile, noir flottait doucement dans le vent, laissant paraitre un squelette qui salut avec un verre à côté d'un sablier peint en blanc. Ce bateau, appartenait au Capitaine Charles Johnson, pirate qui en quatre ans a su se faire un homme sur la mer comme sur terre. Bête noire en Asie et Méditerranée au même titre que Sparrow aux Caraïbes. Navigateur aguerrit, il est connu pour ses fuites spectaculaires et ses attaques ciblé sur la Compagnie des Indes Anglaises. Il était celui qui avait dessiné le bateau un soir sur un coup de tête à son ami médecin et il l'a construit avec 300 autres ouvriers en sept mois. Le navire venait de quitter les eaux de Martinique, il se dirigeait vers la Baie des Naufragés. Aux oreilles des pirates le chant résonnait appelant à la réunion de tous les pirates pour ' l'ultime bataille'. Charles et ses hommes venant d'arriver dans les Caraïbes, n'avaient pas d'autre projet si ce n'est défendre leur valeurs, suite à un vote, la décision était de participer à cette dite 'ultime bataille'. Le bateau voguait donc calmement vers sa destination, mais si le pavillon était levé c'est parce qu'un navire de la Compagnie des Indes Anglaise les avait pris en chasse. Cela faisait quelques semaines qu'ils n'en avait plus croiser alors autant en profiter en guise d'échauffement pour la lutte d'après. Tout le monde était animés sur el pont se préparant à l'assaut, à la barre le capitaine Johnson, qui observait ses hommes se préparait à ses côté son ami et médecin, Gabriel Eideard et son navigateur. Un coup de canon retentit, indiquant que la distance, permettait le début des assauts.
« Monsieur ? Demanda d'une voix essoufflé le Quartier-maître, qui désigna les membres de l'équipage tous attentif aux déclarations de leur capitaine. Quels sont les ordres ? - Préparez vous à l'assaut, répondit d'une voix neutre le pirate. Pas de quartier tant qu'ils ne se sont pas rendu. Un mouvement de joie s'éleva sur le pont avant que les hommes retournent à leur poste. - On pourra les complimenter sur leur comité d'accueil. Laissa échapper dans un soupire le médecin. - Bienvenue aux Caraïbes Gabriel, répondit Charles en confiant la barre à son navigateur. Avec les compliments de la Compagnie des Indes Anglaise. »
'there is a house
« Cours Charles ! Cours ! Hurlait le gamin observant son frère filer dans la campagne anglaise. On frappa violemment à la porte. - Liam ! Ouvre cette porte immédiatement. - Non ! Le gamin poussait de toutes ses forces, les larmes aux yeux avant de céder atterrissant sur le sol de la chambre. - Liam... Laissa échapper son père en secouant la tête. Où est Charles ? »
Charles est né à Oxford, une nuit d'avril où le beau temps n'était une fois de plus pas au rendez-vous. C'est tout ce qu'on lui a raconté, personne ne sait qui sont ses parents. On l'a retrouvé dans un panier, dans une toilette assez luxueuse au pied d'une Eglise de la ville. Le moine l'avait apporté à un orphelinat où il apprendrait un quelconque métier et vivre sa vie de civils. Il en fut autrement, un destin exceptionnel s'ouvrit à lui lorsque Henry Johnson est arrivé à l'orphelinat. Cet homme, venait des quartier populaire, mais par des relations avait réussit un exploit que personne ne pouvait égaler, celui de se bâtir une richesse et un titre, devenant l'un des hommes le plus influent à la cours faisant partit du cercle privé des Lords. Cette réussite et son caractère l'isole de la vie sociale, malgré son bon partit, il n'a de temps pour les rencontres galantes et à peu d'amis. Il recherche un héritier, Charles fut son choix. A l'orphelinat, il repartit avec deux bébés, Charles et son frère, un peu plus âgé appelé Liam. Afin de parfaire son éducation et soucieux de lui offrir une enfance, Johnson apporte les deux enfant chez des amis. Offrant Liam comme fils pour le couple n'ayant pas la possibilité d'avoir des enfants et confiant Charles. Helen et Gordon Jefferson étaient des amis de Johnson, ils acceptèrent de s’occuper du garçon et furent touché par l’intention de leur ami. Charles à donc grandit parmi eux, jusqu’à ses 11 ans, vivant dans la campagne anglaise, à l’abris de toute les effusions et richesse de la ville. Il a une excellente éducation et un vie de famille tranquille jusqu’au jour où une calèche débarqua devant la demeure des Jefferson.
Charles se pencha sur la fenêtre du couloir qui donnait sur la cours de la demeure des Jefferson, la calèche venait de s’arrêter et un homme grand, aux cheveux brun foncé sortit accompagné d’un autre homme un peu plus petit une cicatrice sur le visage. Le garçon courra se réfugier dans la chambre de son frère lui annonçant qu’ils étaient venus pour lui. Rapidement, l’adolescent passa par la fenêtre descendant sous le regard anxieux de Liam le mur de lierre. Arrivé en bas, il fila aussitôt vers les collines, sous les cris de son frère. Il n’avait pas envie de se retrouver dans les strates supérieures de la société, au milieu de l’or et du pouvoir. Il n’avait pas non plus, envie de partir de la campagne pour la ville, ainsi il se mit à courir loin et vite. Dans la chambre Liam leva les yeux vers son père qui réitéra sa question, les larmes aux yeux il secoua la tête et son père est partit aussitôt. Charles arriva dans une clairière de la forêt à quelques minutes de la maison, il laissa échapper un soupire et entendit des bruit de pas devant lui. Il leva les yeux pour se retrouver face à son père adoptif qui essoufflé attrapa le bras du jeune homme qui se débâta,
« Je ne veux pas y aller ! Cria t-il les larmes aux yeux. - Tu savais que ce jour viendrait Charles, on ne t’a jamais mentit. - Vous voulez plus de moi c’est ça. Renifla le gamin. Son père adoptif le pris dans ses bras et le regarda sérieusement. - Ne redit jamais ça ! Tu sais pertinemment que ce n’est pas vrai et on serait près à te garder. Mais c’est lui ton père. N’oublie pas qu’on t’aime. »
Le jeune homme hésita avant de finalement se laisser guider par son père adoptif jusqu’à la demeure. Helen l’attendait, elle discuter un sourire éclairant son visage à l’homme brun. Ce dernier se tourna vers lui,
« Bonjour Charles. »
'royal navy engagement
« Bonsoir monsieur Johnson. Le concerné leva ses yeux vers l’homme qui venait de lui adresser la parole. - Bonsoir, vous êtes ? - Le commandant London, fonctionnaire de la Marine Anglaise, répondit l’homme. On m’a beaucoup parlé de vous officier marinier Johnson. - En mal j’espère, s’amusa Charles croisant le regard de son père qui leva les yeux au ciel. Le commandant laissa échapper un léger éclat de rire. - Non, bien au contraire. A 19 ans, être déjà officier marinier vous promet d’atteindre rapidement les grandes strates de la hiérarchie. Un avenir très prometteur n'est-ce pas - Je ne suis pas une rare exception. Je préfére cependant pas y penser, la vie est courte, en particulier en mer. »
Le commandant l’invita à discuter plus longtemps à l’écart. Charles après son départ pour Londres, à découvert rapidement qu’il ne verrait pas tant que cela, c’est son homme de main, le mystérieux homme à la cicatrice qui s’est en particulier occupé de lui. Il a poursuivit son éducation et entre dans la marine anglaise en tant que mousse à 13 ans. Rapidement il montre ses qualités à bord des navires. Il a des contact aisés avec les adultes, obéissant, passionné, curieux et arrive toujours à anticiper les demandes ou attaques. Il monte rapidement les échelons, s’entend souvent mieux avec les personnes plus âgés à plusieurs fois l’occasion de voyager jusqu’en Afrique et sur l’océan Atlantique et la mer Méditerranée. Alors que le commandant le noyait de compliment, le jeune homme laissait flâner son regard dans la salle remplis majoritairement d’homme de la marine, tous en uniformes, son père avait tendance qu’ils se prenait trop au sérieux et les marins doués il tentaient de les avoir dans leur poches pour mieux les contrôler. Son regard croisa de nouveau celui du commandant qui venait de lui présenter son épouse. Le jeune homme, qui avait déjà atteint sa taille d’adulte était un peu plus grand que celle-ci baissa ses yeux vers elle et la salua. Le commandant recommença son éloge sur Charles. Il commençait à comprendre pourquoi son père aimait la solitude.
A chaque fois qu’il avait l’occasion de voir son père ce dernier l’amenait sur d’ancienne terre, où les lien n’était plus que des ruines, cachait au cœur de ces ruines une ancienne abbaye, qu’il avait fait rénover d’une façon qui échappait au jeune homme. Ce lieu de calme, d’isolement est devenu un abris pour leur moment intime. Juste lui et son père adoptif comme une famille normale. Assis sur une chaise autour d’une table, Charles observait son père qui peler une pomme avec un son couteau. Ce couteau, il ne le quittait jamais, il venait d’un de ses voyages en Asie du Sud Est. Du moins c’est ce qu’il lui avait racontait. A cette époque l’adolescent, n’apprécier guère ce père qui ce voulait être son père adoptif mais était constamment absent. Lorsqu’ils se retrouvaient ici, c’était pour lui parler de son avenir, il lui parlait en métier, il avait pris des années avant de comprendre clair et net que c’était à lui de choisir sa voie. Ils étaient donc installés tout les deux face à face et Charles l’observait d’un œil mauvais,
« Je n’ais pas envie d’être comme vous. On a peur de vous, on vous déteste. C’est pour ça que vous êtes seul. - La solitude est la rançon de la gloire. Et je ne suis pas seul, je t’ais toi pour t’apprendre tout ce que je connais. Ca c’est important. - Pour me transmettre ? L’argent, le pouvoir… Vous semblez avoir déjà tout prévu pour moi. C’est tout ce qui compte pour vous. - Je n’ais pas dis ça. Le jeune homme fronça un sourcil méfiant. Vois-tu ce couteau, je t’en ais déjà parler. Il ne vaut rien et pourtant c'est ce que j'ai de plus cher au monde. Il me rappel mes voyages, que tout est plus simple lorsqu’on est libre… Si je le voulais je pourrais tout laisser tomber. - Pourquoi vous le faites pas ? Son père rangea le couteau, le posa sur la table et le glissa vers lui. - Je me considère trop vieux. C’est mon choix et je ne le regrette pas. Il adressa un sourire au gamin. Il est à toi. »
Charles pris le couteau et le serra dans sa main. Une fois le repas terminé, son père repartit dans ses recommandations et autres informations sur la marine anglaise. Le jeune homme sentait que c’était ce que voulait réellement son père, qu’il devienne quelqu’un d’influent dans la marine, il le faisait pour lui et par choix, sans réellement le savoir. Le commandant le sortit de ses pensées, le présentant à son supérieur un commodore. Après dix minutes de discussion Charles parvint à prendre congé des trois personnes et fila vers son père qui discutait avec un homme très influent, appelé Enfield, chancelier. Le jeune homme le salua et croisa un regard froid et autoritaire, typique des personnes qui recherche du pouvoir. Il parla de sa nièce, Victoria, ce qu’ignorait le jeune homme à cette époque c’est qu’elle et lui e rencontreraient plus d’une fois et tout sauf de façon civilisée ou presque. Son père fini par prendre congé du chancelier et accompagna son fils à travers la salle pour arrivé sur une terrasse extérieur.
« Le commandant London ? - Homme distingué, il aime son pays et sa mission, commença Charles d’un ton nonchalant. Il m’a proposé de partir pour les Caraïbes avec eux. J’ai accepté. Son père lui tendit un verre, un sourire aux lèvres. - C’est un choix excellent. Espérons que tu me reviennes après cette aventure. - Je ne vous décevrais pas Monsieur. - Tu me décevras le jour où tu nieras la responsabilité de tes choix. »
Charles hésita un instant avant d'hocher la tête et les deux verres tintèrent. Quatre ans plus tard, lors d’une remise de médaille, Charles est nommé lieutenant de seconde classe. On le met sous l’autorité de la Compagnie, pour cinq années. C’est à partir de ses années, qu’il découvre la vérité sur les actions et le pouvoir de la Compagnie des Indes anglaises. Proche des hommes de pouvoir, il croisera a de nombreuses reprises Cutler Beckett, qui est de deux ans son ainé. Homme qui le répugna rapidement. Désireux de réintégrer la marine Royal il deviendra lieutenant commandant et le restera jusqu’à la mutinerie il y a quatre ans et demi à présent.
Dernière édition par cpt. Charles Johnson le Lun 16 Nov - 22:10, édité 14 fois
cpt. Charles Johnson
captain. your worst nightmare
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Sujet: Re: ‘A General History of one of the most notorious Pyrate' Dim 20 Sep - 13:33
'mutiny & piracy
Charles après ses années de service dans la Compagnie des Indes anglaises, était retourné dans la marine anglaise. Il avait changé sa vision de sur la marine et en particulier de son rapport avec l’autorité. Son père aussi avait changé depuis son absence, il appréciait de moins en moins les personnes de la haute société et n’était présent que pour les grand évènements et acceptait les uniques invitation de ses amis. Tout les deux se sont en réalité beaucoup rapprochés, lors de sa première année il rencontre Gabriel Eideard, mère anglaise, son père était français et à passé une partie de sa vie en France jusqu’à l’appel du large comme il aime le dire. Rapidement une amitié sincère les lie malgré la réputation peu glorieuse de Gabriel, Charles le propose sans arrêt de l’accompagner aux soirées, en particulier un soir, où tous les gradés de la marine et de la Compagnie se sont retrouvés dans la même salle.
« Lieutenant commandant Johnson, permettez moi de vous présenter Victoria Enfield, c’est la nièce de… - Chancelier Enfield, j’ai rencontré votre oncle quand j’étais plus jeune. Coupa Charles adressant un léger sourire charmeur à la jeune femme. Enchanté de vous rencontrer. Il entendit Gabriel se racler la gorge et il se reprit. Permettez moi de vous présenter mon ami médecin, Gabriel Eideard. »
La première rencontre de Charles et Victoria s’était donc déroulé dans un endroit connu de tout les deux, un moment où le jeune trentenaire débutait à avoir des réticences sur les méthodes de la Compagnie. Beckett les avait introduit puis laisser seuls puisque Gabriel avait réussit à s’éclipser. Charles lui s’était laissé charmer par la jeune femme, qui malgré le fait qu’elle parlait beaucoup d’elle, avait quelque chose qui l’intriguait, cependant au cours de la soirée, ils ont su montrer leur différences d’avis sur de nombreux sujet et rapidement ils y a une tension qui s’est crée. Ils se sont croisés plusieurs fois après cette soirée, ne croyant pas au coïncidence Charles était aller trouver Beckett lui demandant si ce dernier avait demander à Victoria de le suivre. Bien que ce dernier ait nié et que le lieutenant commandant fut envoyé sur un navire d’exploration, le trentenaire resta persuadé de cette probabilité.
(…)
« Qu’est-ce que vous faites Johnson ? On dirait que nous sommes en mer. Son interlocuteur hocha la tête. Qu’est-ce qui se passe lieutenant commandant ? - Nous avons pris le large Monsieur. L’homme eut un sursaut, toujours aussi inhabituel par le stoïcisme de l’homme, il hésita le sondant avant de demander, - Sous l’ordre de qui ? - Le miens. - Vous ?! Vous voulez rire ! Il s’approcha de Charles de façon assez violemment et ce dernier pointa le canon de son pistolet sur son supérieur. C’est une trahison ! Charles éclata de rire et laissa échapper un léger éclat de rire . - Surement. Est-ce que je dois prendre cela comme un refus de vous joindre à mon équipage ? - Vous n’êtes pas sérieux… Si vous revenez sur votre décision, j’accepte de fermer les yeux sur votre dérapage. - Je suis très sérieux monsieur. Venez avec moi. »
Une mutinerie n’a pas besoin d’être violente. C’était ce que lui répéter son père adoptif. Cela faisait un mois et demi que le Shipwreck voguait sur les flots. Le navire appartenait a Charles, construit par ce dernier lors de sa première année de retour dans la marine. Il l’avait confié à la flotte de la marine, naviguant dessus en tant que lieutenant commandant. Enfin, le trentenaire poussa l’homme à l’extérieur sur le pont, les hommes se dégagèrent laissant passer leur nouveau capitaine et le commodore, prêt du mat se trouvait le commandant et capitaine accompagné de deux autres marins, tous avec quelques affaires. Une dizaine de minutes plus tard, les hommes avaient était embarqués sur une chaloupe et confié un compas et le carnet de bord du commodore. Tout le monde s’était montré assez silencieux, ils avaient discuté de cette possibilité ces trois derniers jours avec Charles après la violente punition d’un des officiers. Les hommes ne pouvaient plus tenir la discipline et le lieutenant commandant avait déjà fais par sa volonté de quitter le navire. Ayant tout l’équipage derrière lui et une volonté de lutter contre la Compagnie, Charles pris donc la tête de la mutinerie. Selon les règles il avait laissé le choix de partir ou non et toute personne résistant serait tuée sur le champ. Il n’eut pas besoin d’en arriver à de telles extrémités, tout le monde coopéra. Avant le départ de la chaloupe, le commodore encra son regard dans celui du pirate,
« Vous avez encore une chance de vous en sortir Charles. - J’ai pris ma décision. - Alors vous êtes perdu… »
(...)
« Je sais mon cher, c’est dur de perdre. Charles leva les yeux vers Victoria et laissa échapper un léger éclat de rire. La jeune femme s’approcha doucement des gardes qui se dégagèrent pour la laisser le voir. Oh tiens donc, un pirate. Vous n’en avez pas l’air pourtant. - Vous savez ce qu’on dit, l’habit ne fait pas le moine. »
Deux ans. C’est le nombre d’année que le Shipwreck semblait tout simplement impossible à attraper, ce qui restait d’ailleurs aussi le cas à présent. Un navire qui n’avait rien à envier au Black Pearl autant dans sa vitesse que la possibilité de manœuvre aisée. Filer à la barbe de la Compagnie des Indes, s’était plus que jouissif pour le pirate qui à présent avait un équipage plutôt équilibré, des hommes de confiances et près à tout pour leur liberté et leur capitaine. Après la mutinerie, Charles avait accepté de déposer certain marin à différents endroit dont en Egypte et Singapour où il se fondirent dans la foule. Il fallut près d’un mois pour que la nouvelle de la mutinerie du Shipwreck atteigne les comptoirs principaux de la Compagnie des Indes anglaises. Cependant, ce n’était pas un secret pour tout le monde que le Capitaine Johnson était devenu un pirate, les petit comptoir d’Afrique avait déjà subit des dégâts d’un navire pirate, qui s’en était pris qu’à la Compagnie, apparaissant et disparaissant a chaque fois. Un vaisseau qu’ils ne pouvaient saisir, ayant des cibles précises et ne réalisant un grand nombre de victimes dans les rangs de la Compagnie. Rapidement le bateau et son capitaine deviennent rapidement l’un des objectifs de la Compagnie, en particulier en Méditerranée où à plusieurs reprises il détruit les comptoirs, mais aussi en Asie. Il échappe à plusieurs reprises aux soldats de la Compagnie en Inde et restera quelques mois à Singapour avant de remonter le long des autres ports asiatiques ou la Compagnie avait moins d’emprise. Les rumeurs, allaient cependant plus vite que els actions, rapidement la Compagnie réussit à dépeindre Charles et son équipage, comme un équipage de meurtrier attaquant toute les villes des colonies, réalisant de réel massacre. Les versions diffèrent en fonction des pirates qu’ils ont croisé, des gens qui les ont couvert et ceux qu’ils ont croisés. Le pirate était assez mystérieux, peu bavard, il a pourtant d’excellent contact avec son équipage, les connaissant tous et ayant une confiance en eux, il a adapté le code des pirates à sa façon sauf concernant les règles concernant les conflits. Peu à cheval sur la discipline il compte sur le respect de tous, mais laisse chacun se rappeler que parmi les forbans, il n’y a pas de vrais amis. Le capitaine et son équipage était aux Caraïbes depuis près de trois mois, le trentenaire appris que Victoria Truesdall était de passage à Port Royal. Titiller la jeune femme fut rapidement la tentation du capitaine qui se laissa se déposer à Port Royal. Les choses c’était bien passé jusqu’à être repérer par des soldats et il n’eut pas fallut très longtemps pour le capitaine de se retrouver dans le bureau de cette dernière. Entouré d’un groupe de soldat. La jeune femme apparue quelques secondes après et ne put s’empêcher de lâcher une remarque qui valu un léger rire moqueur. Après l’échange de remarque la jeune femme se dirigea vers la cheminée où elle avait fait poser le fer. Le P scintillait, d’un rouge flamboyant, Charles savait pertinemment que c’était pour lui, il ne put s’empêcher d’être amusé par la situation, deux ans et demi de piraterie avant d’être marqué par la Compagnie, une victoire en soi. Victoria empoigna le fer et se retourna vers Charles un sourire victorieux sur les lèvres, elle jubilait intérieurement et le pirate se chargerait de l’effacer.
« Considérez cela comme un honneur, mon cher, d’être marqué à vie. Vous ne le regretterez pas. La main qui tenait le fer se rapprocha du poignet de Charles qui eut un léger mouvement de recul, mais fut retenu par les soldats qui le retenait fermement. Vous vous en souviendrez toute votre vie… »
Le fer brûla la chair du poignet de Charles qui laissa une grimace de douleur alors qu’il gardait le regard braquer dans celui de la jeune femme. Après quelques secondes Victoria retira le fer avec un large sourire sur les lèvres. Le pirate vit une ouverture pour profiter de la baisse de la garde des hommes pour se munir d’un pistolet. Il tira trois balle, deux sur les soldats et enfin une troisième une direction vers Victoria. La dernière n’était pas dans le but de la tuer, on n’élimine jamais les gens sans leur laisser une chance de se venger et puis c’était plus dans le but de laisser à son tour une marque à la jeune femme. Il se débarrassa des autres soldats confus et déboussolé par la rapidité de ce dernier. Après avoir récupérer ses affaires il disparu par la fenêtre ne posant même pas un regard à la jeune femme. C’était leur dernière rencontre, quelques mois plus tard il croisera Beckett en Inde et lui fila entre les doigts. Ces deux dernières années il est resté dans la Méditerranée et l’Asie où il s’est fait un nom, des contacts et des ennemis.
Dernière édition par cpt. Charles Johnson le Lun 16 Nov - 22:11, édité 12 fois
cpt. Charles Johnson
captain. your worst nightmare
INSCRIT LE : 18/09/2009 REAL AGE : 32 MESSAGES : 86 WHERE ARE YOU : j'attend la chute de l'objet qui eu raison de Newton, allongé sous un arbre. AMBITION : aucune si ce n'est celle de faire obstacle le plus longtemps à l'EITC. RPG AGE : 39 ans. MOOD : cynical with subtlety.
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Sujet: Re: ‘A General History of one of the most notorious Pyrate' Dim 20 Sep - 13:42
● prénom ou pseudo : Eve of distraction ● âge : 18 ans ● où avez-vous découvert le forum? : héhéhé, bonne question ● && comment le trouvez-vous? : sublime, Vivi le sais déjà ● depuis quand faites vous du rp : depuis quatre ans ● niveau de présence en /J : moyenne 4/7 ● code magique : validé par Charly
● célébrité de votre avatar : Ewan McGregor ● un dernier mot pour votre défense? Viva la revolucion !
Dernière édition par cpt. Charles Johnson le Sam 26 Sep - 7:10, édité 1 fois
Sydney S. Hopks
pirate. mad girl in a mad world
INSCRIT LE : 18/09/2009 REAL AGE : 31 MESSAGES : 184 WHERE ARE YOU : Port Royal,that stinky town... AMBITION : Kill them all RPG AGE : 28 years old MOOD : Oh... just don't push your luck!
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Sujet: Re: ‘A General History of one of the most notorious Pyrate' Sam 26 Sep - 6:46
AAAAAAAAAA
Mon sauveuuuuuuur
Et bah tu sais quoi??? Je te valide!!!!!
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Sujet: Re: ‘A General History of one of the most notorious Pyrate'
‘A General History of one of the most notorious Pyrate'
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